Cancer, retrait de licence, sacres à Royal Ascot, la drôle de carrière l'entraîneur anglais Karl Burke
Karl Burke, un maître entraîneur au parcours mouvementé
En Angleterre, le sprint est une religion. En marge des classiques, les épreuves de courte distance sont les plus prisées. Chez nos voisins anglais, remporter une des épreuves pour 2 ans lors du Royal Ascot est un graal dont on peine à mesurer le prestige vu de France. Dans le pays de la vitesse et de la précocité, les grosses écuries dépensent sans compter pour pouvoir mettre la main sur les futurs bolides capables de briller lors du plus prestigieux meeting du monde, devant les yeux du Roi et de la Reine. Nouveau mastodonte du turf, l’écurie de l’Emir du Qatar Wathnan Racing arrivait à Ascot avec un armada de 2 ans achetés quelques semaines plus tôt après des débuts victorieux ou lors de breeze-up.
Royal Ascot, la Mecque des courses de galop