Saga Dream et les présumés incompétents (voire pire..)
- Quel est l'organe situé entre le gros intestin et l'intestin grêle ?
- A quel âge un gentleman n'a plus le droit de monter ? (NDRL : de toute façon, s'il n'a plus de licence, il ne risque plus de monter)
- Combien le cheval a-t-il de paupières ? (NDLR : sur le manuel d'hippologie, il est indiqué que le cheval a 2 paupières plus une membrane qui fait office de paupière)
- Quel est la limite d'un établissement d'entrainement secondaire (NDLR : c'est à dire le nombre de chevaux autorisés dans une antenne, ce qui n'est vraiment pas le premier souci d'un jeune entraineur, qui ne s'installe jamais avec un effectif tellement nombreux qu'il nécessite une vaste antenne extérieure.)
- Combien de fois par semaine peut-on donner à manger du mâche (NDLR : il y a autant de réponses que d'entraineurs donnant du mâche et que de quantités de mâche données à chaque fois.)
La dénonciation
- Elle est étrangère (hollandaise), ce qui la fait tomber dans tous les pièges sémantiques des questions posées lors du pré-stage.
- Elle est permis d'entrainer et ces gens-là sont aujourd’hui l'objet de la plus grande présomption de culpabilité. Car le Président en personne de l'Association des Propriétaire et Permis d'Entrainer, Jacques Le Dantec a envoyé une lettre aux commissaires à France Galop en demandant expressément d'opérer la plus stricte surveillance à l'encontre des permis d'entrainer qu'il décrit comme ayant pour beaucoup des pratiques illégales et des revenus masqués ! Voici donc un élu s'association qui dénonce ses administrés aux juges suprêmes et jette sur eux un terrible opprobre plutôt que de régler lui-même les problèmes qu'il imagine.
- Son mari est le patron du Haras de Chêne, grand centre de débourrage de pré-entrainement dans l'Ouest. Ce dernier, Yann Poirier, a demandé depuis des années, en tant que Président de l'Association des Débourreurs, que ceux-ci, qui sont devenus des membres essentiels de la filière (pratiquement tous les jeunes chevaux passent aujourd’hui par ce circuit avant de partir à l'entrainement) soient officiellement reconnus et licenciés par France Galop. Toutes ses lettres sont restées mortes, des rendez-vous sans lendemain, ses explications transformées en prêches dans le désert. Les débourreurs pré-entraineurs ne sont pas des gens reconnaissables aux yeux de la maison-mère. Et donc même si on possède les infrastructures, le personnel, l'expérience de la gestion d'une entreprise et du travail des chevaux, il ne fait manifestement pas bon pratiquer ce métier quand on veut devenir entraineur public...