Mail de Bièvre a 1 petite soeur par Satri: les photos
La poulinière Coyote Davis a connu 2 heureux événements en moins d'une semaine. Tout d'abord le 28 mars à Auteuil, son fils Mail de Bièvre, a remporté le Prix Troytown (gr.3) à Auteuil. Impressionnant, il possède tous les atouts pour devenir un grand d'Auteuil dans la discipline reine de l'obstacle: le Steeple-Chase. Sera-t-il l'adversaire de Remember Rose dans le prochain Grand Steeple-Chase de Paris ? C'est bien possible.
5 jours plus tard, le 2 avril, Coyote Davis a donné naissance à une pouliche par Satri, au Haras de la Hétraie, en Normandie chez Pascal Noue. La jument a été confiée à Pascal Noue depuis qu'elle a été vendue par Claude Quellier à Deauville pour 6000 € à Jacques Berès en décembre 2000 à Deauville. Pour tous les détails, lire l'article. Fille de Kaldoun et de la bonne mais folle Blue Idol, Coyote Davis avait remporté 2 petites courses plates et était présentée pleine pour la 1e fois de Double Bed.
Sa 1e pouliche née, Dissidente, a gagné 3 courses. Le 2e produit, Buttes Chaumont (Vertical Speed), s'est rendu célèbre dans les quintés (8 victoires, 199.000), le 3e Sorceror (Sleeping Car) a gagné en haies en Irlande. Typique de son père, Mail de Bièvre est son 4e produit né en 2005. Ensuite Coyote Davis, qui a une pure origine de plat mais visite souvent des étalons d'obstacle, a eu Irish City (Ballingarry), 3e de son unique sortie en 2009, Irish City (Divine Light), qui vient de débuter à la 5e place en plat à Cholet le 11 avril chez Christophe Lotoux. Coyote Davis n'avait pas eu de produit depuis ce poulain de 2007.
Mail de Bièvre
La pouliche née est issue de Satri, jeune étalon du Haras de la Hétraie, fils de Mujadil avec une mère par Gulch, frère de Lawman et Latice, spécialiste des 1400 m, qui présente donc un profil aux Antipodes de celui de Cadoudal. Pour le prochain étalon du printemps 2010, l'hésitation a longtemps été de mise entre Satri et Kapgarde, un sauteur. Mais la pouliche est jugée tellement belle que Coyote Davis retournera à Satri .
